CM - HPC
URCA - L1 - 17/18
Maintenir la paix et la sécurité internationales et à cette fin : prendre des mesures collectives efficaces en vue de prévenir et d’écarter les menaces à la paix et de réprimer tout acte d’agression ou autre rupture de la paix et réaliser, par des moyens pacifiques, conformément aux principes de la justice et du droit international, l’ajustement ou le règlement des différends ou des situations de caractère international, susceptibles de mener à une rupture de la paix. » – « Développer entre les nations des relations amicales fondées sur le respect du principe de l’égalité de droits des peuples et de leur droit à disposer d’eux-mêmes, et prendre toutes autres mesures propres à consolider la paix du monde. » – « Réaliser la coopération internationale en résolvant les problèmes internationaux d’ordre économique, social, intellectuel ou humanitaire en développant et en encourageant le respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales pour tous, sans distinction de race, de sexe, de langue ou de religion.
1. La revitalisation de l'ONU
2. Des structures et des concepts inadaptés face aux nouveaux conflits
Ainsi l'ONU n'apparaît-elle pas comme le prolongement de l'action des Etats, mais souvent comme le lieu d'expression de leur indécision.
Garnotte, 1996
Oxfam, MSF, Human Watch
Douste Blazy, « le plus grand des génocides du siècle »
(France 2, 14 mai 1994 )
Siyad Barré / général Aïdid
Seigneurs de guerre et "Mad Max"
ONUSOM
"Restore hope"
ONUSOM II
Ali Mahdi
Mogadiscio
retrait le 24 mars 1994
1. Rappels rapides. Fonctionnement des T.P.I.
2. Enquêter
3. Nommer. Des enjeux mémoriels
Source : ONU, MINUAD au Darfour
...Du droit d'ingérence à la "responsabilité de protéger"...
Photo : Thomas Goisque
On peut donc tuer des hommes sans que leur mort occasionne le moindre sursaut de conscience, la moindre révolte ? On peut donc tuer des hommes comme on le fait des rats ? Sans en éprouver le moindre remords ? Et s'en flatter ? Mais dans quel égarement, dans quel délire faut-il avoir sombré pour qu'une « juste cause » autorise de telles horreurs ?
Lydie Salvayre, Pas pleurer, p. 134