La DOM Pro, l’imprimante 3D du français Digital Object On Demand. Une imprimante à moins de 1000 euros qui permet d’imprimer de petites pièces ou objets (max 30 cm) en plastique.

Optimiser les coûts. Les lunettes Eyewear sont imprimées en une fois, pour leur fabrication elles ne nécessitent donc pas de chaînes d’assemblage et permettent des économies importantes pour l’entreprise qui les commercialise.

Réduire le poids. Ces accoudoirs d’avion imprimés en 3D sont 40% plus légers et tout aussi solides que des accoudoirs classiques.

Ici, l’impression 3D permet de créer une structure de bâtiment très complexe. Ce n’est pas la structure qui a été imprimée mais des moules en sable. Moules dans lesquels a ensuite été coulé du béton (Collectif EZCT)

Vêtements interactifs. La designer de mode Anouk Wipprecht a conçu des robes imprimées en 3D.

Prothèse low-cost. E-Nable est une communauté qui travaille sur des prothèses à moindre coût, et ce grâce à l’impression 3D.

La joaillerie 3D. La maison Jaubalet imprime des prototypes en cire pour les montrer à ses clients avant la conception finale (en haut à gauche). Elle permet de créer des bijoux infaisables à la main comme cette bague en argent (en bas à gauche) dessinée par l’artiste Miguel Chevalier.

Le consortium Precious travaille sur l’impression de l’or. Exemple en bas à gauche avec le projet HeartBeat : Le client déforme un cœur en cuivre avec un petit marteau, le résultat est scanné et le bijou en or, ainsi personnalisé, imprimé.

François Brument et Ammar Eloueini ont créé le projet #Chair71, où l’utilisateur peut participer à la forme de la chaise.

De la même façon, les vases #44 sont imprimés à partir d’un fichier sonore. Plus on parle longtemps, plus le vase est haut, plus le son est fort plus le vase est large.